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Absentéisme : l'inquiétante progression des arrêts maladie liés aux troubles psychologiques chez les moins de 40 ans

Une enquête d’Axa met en lumière une forte "dérive" de l’absentéisme en France qui a enregistré une hausse de 41 % par rapport à 2019. Un arrêt de longue durée sur deux pour troubles psychologiques concerne une personne de moins de 40 ans. Un sujet d'inquiétude pour le gouvernement et les entreprises.

"Ce qui était anormal hier est devenu la réalité d’aujourd’hui". Diane Milleron-Deperrois, directrice générale Axa santé & collectivités, a souligné, le 6 mars, lors d’une conférence de presse, l’envolée du taux d’absentéisme dans les entreprises françaises. Au cours des cinq dernières années, il a enregistré une hausse de 41 % par rapport à 2019, dernière année de référence avant la crise sanitaire, selon le Datascope 2025 d’Axa France.

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Cegos publie un guide méthodologique sur le déploiement de l'IA dans les entreprises

Le groupe Cegos publie une guide méthodologique pour accompagner les entreprises dans le déploiement de l’intelligence artificielle générative dans les entreprises. Il propose une approche progressive qui suppose d’établir un diagnostic des besoins, puis une phase d’acculturation, avant un déploiement centré sur les processus métiers ainsi qu’un renforcement des compétences cognitives de l’ensemble des collaborateurs pour sécuriser les usages.

En fonction de critères et d’exemples ou de cas d’usages, ce modèle définit quatre profils correspondant à quatre niveaux de maturité.

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Contrats courts : le bonus-malus a joué un rôle "limité", selon l'Unédic

Promesse de campagne d'Emmanuel Macron en 2017, le bonus-malus, mis en place en 2019, consiste à moduler la contribution patronale d'assurance chômage (entre 3 % et 5,05 %) en fonction de l'usage des contrats courts ; le taux standard étant de 4,05 % (4 % au 1er mai 2025).

Ce dispositif s'applique à sept secteurs d'activité. Un peu moins de 30 000 entreprises, soit environ 15 % des entreprises françaises de 11 salariés ou plus, sont actuellement concernées.

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Inégalités femmes hommes au travail : les six raisons du malaise

Syndicats et patronat ont débattu d'égalité professionnelle, le 7 mars, lors d’une table ronde organisée par le ministère du travail. Certaines réalités sont crûment apparues. Six raisons du malaise qui s'installe années après années autour des inégalités dont souffrent les femmes peuvent être identifiées.

Faut-il se satisfaire des progrès réalisés quand ils sont minimes ? La question s'est posée, vendredi 7 mars, quand Pierre Ramain, Directeur général du travail, a présenté les résultats de l'Index d'égalité professionnelle. En 2024, la note moyenne des entreprises était de 88 sur 100. En 2025, elle n'a augmenté que de 0,5 point, à 88,5. Certes, elle n'était que de 85 en 2021.

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Annaëlle Caroff, DRH de la Chambre des métiers de l’artisanat de Nouvelle-Calédonie, lauréate du "Grand Prix" de l’ANDRH

L’ANDRH a remis, le 6 mars, cinq récompenses, à l’occasion de la troisième édition du Grand prix RH, destiné à récompenser les meilleures pratiques RH responsables de l’année. Annaëlle Caroff, DRH de la Chambre des métiers de l’artisanat de Nouvelle-Calédonie, a reçu le "Grand prix" pour la mise en place d’une cellule de soutien psychologique en réponse aux évènements du 13 mai 2024 en Nouvelle-Calédonie.

Chronique

Le rôle essentiel du DRH en période de restructuration : entre gestion de crise et diplomatie

Dans cette nouvelle chronique, Geoffrey Fournier, président du cabinet conseil Victoriam RH, revient sur le rôle crucial du DRH en période de restructuration. Parmi les axes de travail, la communication, l’accompagnement des salariés concernés, les négociations sociales et la remotivation des "survivants"… Des incontournables pour garder le cap et le moral.

Ah, la restructuration ! Ce mot qui fait frémir les salariés autant que les DRH. Pour certains, c'est une opportunité de rebond, pour d'autres, une annonce de tempête imminente. Et au milieu de tout cela, il y a le directeur des ressources humaines, ce funambule des équilibres organisationnels, tentant d’orchestrer un ballet où personne ne veut vraiment danser.

Voyons donc avec pragmatisme comment le DRH navigue cette mer agitée.

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Avantage en nature véhicule : les précisions de l’administration

Un arrêté du 25 février 2025 modifie les règles d'évaluation forfaitaire de l'avantage en nature véhicule à partir du 1er février 2025. Il prolonge également jusqu'au 31 décembre 2027 les règles de faveur concernant les véhicules électriques.

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LFSS pour 2025 : l’effectif sécurité sociale à nouveau revu pour les groupements d’employeurs

La loi de financement de la sécurité sociale pour 2025 modifie les règles de calcul des effectifs "sécurité sociale" pour les groupements d’employeurs qui avaient déjà été révisées par la LFSS pour 2024. Décryptage.

En vertu de l'article L.130-1, I du code de sécurité sociale, l'effectif salarié annuel d'un employeur, au sens de la sécurité sociale, correspond, sauf exceptions, à la moyenne du nombre de personnes employées au cours de chacun des mois de l'année civile précédente, y compris lorsque l'entreprise comporte plusieurs établissements.

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LFSS pour 2025 : le taux de la contribution patronale sur les AGA est relevé à 30 %

Le taux de la contribution patronale spéciale sur le gain d’acquisition des AGA, en principe exclu de l’assiette des cotisations sociales, passe de 20 % à 30 %, retrouvant son niveau d’avant 2018. Décryptage.

Le gain d’acquisition résultant pour un salarié de l’attribution gratuite d’actions par son employeur est exclu de l’assiette des cotisations de sécurité sociale, sous condition déclarative.

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LFSS pour 2025 : les apprentis redevables de cotisations et de CSG/CRDS s’ils dépassent la moitié du Smic

La loi de financement de la sécurité sociale pour 2025 durcit le régime social des rémunérations versées aux apprentis. Les nouvelles mesures s’appliquent aux contrats d’apprentissage conclus depuis le 1er mars 2025. Décryptage.

Les rémunérations versées aux apprentis sont désormais soumises à la CSG et à la CRDS pour leur part supérieure à 50 % du Smic. Par ailleurs, l’exonération de cotisations salariales est plafonnée à ce même montant.

Les nouvelles dispositions s’appliquent aux contrats d’apprentissage conclus à partir du 1er mars 2025, premier jour du mois suivant la publication de la loi au Journal officiel (article 22 de la loi, VI et 23, II).