Emploi, chômage et inflation : les estimations 2024 et les prévisions 2025 de l'Insee
Au quatrième trimestre 2024, selon ses dernières estimations publiées hier, l'Insee s'attend à une stabilité de l'emploi salarié en France :
Au quatrième trimestre 2024, selon ses dernières estimations publiées hier, l'Insee s'attend à une stabilité de l'emploi salarié en France :
Le projet de loi spéciale a été débattu hier après-midi en séance publique devant l'Assemblée nationale. Le texte a été adopté à l'unanimité des députés : sur 544 votants et 481 votes exprimés, le texte a recueilli 481 voix pour, aucune voix contre.
Dans un rapport publié hier, l'Inspection des affaires sociales (Igas) formule plusieurs recommandations afin d'intégrer dans les politiques climatiques les enjeux sociaux relatifs aux populations vulnérables et aux travailleurs, parmi lesquelles :
Dans une étude mise en ligne le 13 décembre 2024, la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees) publie des données sur les arrêts maladie délivrés depuis 2019.
"Après s’être fortement accru durant les années 2020 à 2022 marquées par l’épidémie de Covid-19, le nombre de journées d’arrêts maladie indemnisées se replie en 2023 au sortir de la crise sanitaire", indique la Drees.
Hélène Garner vient d'être nommée directrice des données et études de l’Apec.
Normalienne et agrégée d’économie et docteure en sciences de gestion, elle était, depuis 2016, directrice du département Travail-Emploi-Compétences de France Stratégie, après avoir travaillé à la mission animation de la recherche de la Dares et comme enseignante à l’université Paris I-Panthéon-Sorbonne.
Oui. Sous réserve de se conformer aux formalités requises, l'employeur peut choisir de fermer l’entreprise entre Noël et le jour de l’An et ainsi imposer à ses salariés de prendre des congés payés sur cette période. Cette décision peut être prise de manière unilatérale ou en application d’un accord collectif.
Un choix encadré
L’employeur doit ainsi :
Parce que la reconnaissance des maladies professionnelles, "sous-déclarées et sous reconnues", repose sur des tableaux parfois "obsolètes" au regard des connaissances scientifiques et des pratiques médicales, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) formule plusieurs propositions pour faciliter la mise à jour de ces tableaux. Dans cet avis, l'Anses recommande :
Santé publique France a annoncé début novembre la mise en place d’une "surveillance épidémiologique de l'état de santé des travailleurs et travailleuses en France selon l'activité professionnelle" (SEESTA)* visant à élaborer et diffuser "régulièrement auprès des acteurs de la prévention (pouvoirs publics, médecins du travail, préventeurs, partenaires sociaux…) une grande variété d’indicateurs de
Le Centre d'études de l'emploi et du travail (CEE) publie une courte étude sur la valorisation des parcours syndicaux, un thème qui doit faire l'objet d'une négociation entre les organisations patronales et syndicales en 2025.
Les différents dispositifs concernés pourront bien entendu être prolongés en cours d’année 2025, avec effet rétroactif au 1er janvier. Mais la situation politique inédite crée une période d’incertitude puisqu’il est impossible de savoir lesquelles de ces mesures seront effectivement reconduites et, si elles le sont, si elles auront ou non un effet rétroactif.