Quatre ans après leur entrée en vigueur, les ordonnances Macron ont-elles révolutionné les relations sociales ?
ActuEL RH
La CFE-CGC veut réserver les avantages des accords collectifs aux seuls adhérents syndicaux
La CGF-CGC a présenté hier, lors d'une conférence de presse, un document de 200 pages qui fait figure de profession de foi à quatre jours du scrutin, intitulé "Restaurer la confiance. A ce titre, une mesure phare du syndicat des cadres est remise sur la table : réserver aux seuls adhérents syndicaux les effets des accords collectifs.
Emploi : Plus de trois millions d’embauches anticipés en 2022 par les employeurs
Après deux années de crise sanitaire, l’optimisme regagne les entreprises. Elles anticipent plus de trois millions d’embauche cette année, soit une augmentation de 12 % par rapport à 2021, selon l’enquête "Besoins de main-d’œuvre" réalisée par Pôle emploi et le Crédoc, publiée hier. Au total, ce sont 323 000 projets supplémentaires par rapport à 2021. "Un niveau inédit" indique l’opérateur public qui publie chaque année ce baromètre. Cette année, 420 000 établissements ont répondu.
Rupture irrégulière d'un contrat d'apprentissage : les congés payés sont dûs
Si le contrat d'apprentissage peut être rompu sans motif durant ses 45 premiers jours d'exécution en entreprise, les possibilités de rupture sont très restreintes au-delà.
Les contrats conclus jusqu'au 31 décembre 2018 pouvaient être rompus par accord entre les parties ou décision du juge, ceux conclus après cette date pouvant l'être par accord entre les parties ou par décision unilatérale de l'une d'elles (démission de l'apprenti ou licenciement pour faute grave, force majeure, inaptitude ou exclusion définitive du CFA).
[Présidentielle 2022] La mise en oeuvre d'un compte épargne-temps universel est-elle réaliste?
Faire une pause rémunérée au cours de sa vie professionnelle : c’est ce que proposent trois candidats à l’élection présidentielle, Yannick Jadot, Anne Hidalgo et Emmanuel Macron,
Il n'est pas si aisé de confronter les engagements d'un candidat à son action une fois parvenu au pouvoir. En effet, qui aurait pu deviner précisément il y a 5 ans qu'un mouvement social comme les gilets jaunes allait secouer la France, qu'une pandémie planétaire allait paralyser le pays ou encore qu'une guerre majeure allait survenir en Europe ? Et, cerise sur le gâteau si l'on peut dire, que la préoccupation du chômage (qui justifiait en 2017 des propositions aussi opposées que le revenu universel et la réforme du code du travail) céderait la place à l'obsession du pouvoir d'achat ?
Accord de performance collective : l'OIT alerte sur la mise en oeuvre du licenciement "sui generis"
Dans son rapport dévoilé lors de l'audience du 31 mars dernier sur le barème d'indemnités de licenciement sans cause réelle et sérieuse, l'OIT pointe un autre risque éventuel de non-conformité du droit français à la convention n° 158.
Le sujet concerne les accords de performance collective (APC) et la rupture du contrat de travail qui peut s'ensuivre si le salarié n'accepte pas l'application de l'accord à son contrat de travail.
[Présidentielle 2022] Faut-il (encore) réformer les retraites ?
Emmanuel Macron l’a annoncé : lui Président instaurerait l’âge de départ à la retraite à 65 ans au lieu de 62. Dans son sillage, les autres candidats ont fixé leurs curseurs de 60 à 65 ans (lire notre infographie et écouter notre podcast).
François Almazor, directeur du développement ressources humaines et responsabilité sociale du groupe Bouygues
François Almazor vient d’être nommé directeur du développement ressources humaines et responsabilité sociale du groupe Bouygues (124 600 salariés).
Âgé de 49 ans, titulaire d’un DESS en ressources humaines, François Almazor est depuis 22 ans dans le groupe Bouygues. Il a accompli l’ensemble de sa carrière chez Bouygues Télécom jusqu’en décembre 2021 en intégrant l’opérateur en octobre 2000 au poste de responsable RH au sein de la direction commerciale, puis responsable RH des sites de Tours et de Bourges pour la direction de la relation clients.
La branche sanitaire, sociale et médico-sociale prévoit un abondement conventionnel pour le CPF
La branche sanitaire, sociale et médico-sociale privée à but non lucratif (SSMS), l’Opco santé et la Caisse des Dépôts, opérateur du compte personnel de formation, ont conclu, hier, une convention qui vise à apporter des financements complémentaires au CPF des 800 000 salariés du secteur s’engageant dans des parcours certifiants.