Absences et congés

Le 18/11/2022
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Un salarié peut-il exiger le report de ses congés payés ?

Chaque semaine, L'appel expert, service de renseignement juridique par téléphone du groupe Lefebvre Sarrut, répond à une question pratique que se posent les services RH.

Le 20/10/2022
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Avec le congé "Respiration", Orange accorde un temps de pause rémunéré à ses salariés en cours de carrière

Orange vient de lancer le congé "Respiration", un dispositif, issu du nouvel accord intergénérationnel, qui permet à un salarié de s’absenter de trois à 12 mois pour s’offrir une pause en milieu de carrière tout en étant partiellement rémunéré. 96 demandes ont été validées depuis mai dernier. La formule séduit davantage les cols blancs.

Le 27/09/2022
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Le PLFSS pour 2023 limite la prescription d'arrêts de travail par téléconsultation

Le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023 a été adopté hier en Conseil des ministres. Deux mesures intéressent directement les services RH : la limitation de la délivrance d'arrêts maladie par téléconsultation et l'indemnisation plus rapide des congés familiaux.

Le 22/09/2022
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L'absence prolongée du salarié doit désorganiser l'entreprise, pas le seul service

Dans un arrêt du 6 juillet 2022, la Cour de cassation confirme qu'en cas d'absences prolongées ou répétées d'un salarié, l'employeur ne peut le licencier que si les absences perturbent le fonctionnement de l'entreprise, et non du seul service, obligeant l'employeur à remplacer définitivement le salarié.

Le 09/09/2022
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Les troubles psychologiques, deuxième cause des arrêts maladie en 2022

Selon le baromètre Malakoff Humanis sur l’absentéisme, présenté hier, les troubles psychologiques dépassent les troubles musculosquelettiques pour la première fois. Avec à la clef un temps plus long de rétablissement. Pour y remédier, les DRH misent sur deux leviers principaux, l’évolution des pratiques managériales et l’implication des salariés.

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Le 03/08/2022
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Salarié protégé inapte : pas de reclassement sur des postes en intérim très courts

L'employeur qui envisage de licencier pour inaptitude un salarié protégé doit effectuer une recherche sérieuse de reclassement dans des postes disponibles, quelle que soit la durée des contrats, et appropriés à ses capacités. Cependant des contrats d'intérim très courts, de deux à trois jours, afin de pallier des absences ponctuelles de salariés ou de faire face à des pointes saisonnières d'activité et présentant un caractère aléatoire ne constituent pas de tels "postes disponibles".