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A la une

L'employeur peut-il refuser la présence d'un représentant du personnel à l'occasion d'un entretien RH ?

Chaque semaine, L'appel expert, service de renseignement juridique par téléphone du groupe Lefebvre Sarrut, répond à une question pratique que se posent les services RH.

L'employeur peut-il refuser la présence d'un représentant du personnel à l'occasion d'un entretien RH ? 

Le code du travail ne prévoit la possibilité de se faire assister par un représentant du personnel lors d'un entretien avec l'employeur ou son représentant que dans deux cas : 

Chronique

Organisation du travail hybride : nouvelle compétence managériale ?

Comment revaloriser les temps collectifs sur site, une fois les accord télétravail signés ? Avec le développement du travail hybride, les managers font face aux défis de l’organisation de la "co-présence". Telle est l'analyse de Keziah Coyo, consultante senior au sein du cabinet Plein Sens.

 

A la une

Participation : pour bénéficier du régime social de faveur, l'accord doit être déposé auprès de la Dreets

L'entreprise ne peut bénéficier des avantages sociaux accordés pour les sommes qu'elle a distribuées à ses salariés en exécution d'un accord de participation antérieurement à son dépôt, comme le rappelle la Cour de cassation dans un arrêt publié du 22 juin 2023.
Rappel : le dépôt de l'accord de participation auprès de l'administration conditionne le bénéfice des exonération sociales

Pour ouvrir droit aux exonérations fiscales et sociales, les accords de participation doivent être déposés à l'administration (articles L.3323-4 et D.3323-1 du code du travail ; article 163 bis AA du CGI) et l'accord de participation doit être conclu avant l'expiration du délai d'un an suivant la clôture de l'exercice au titre duquel sont nés les droits des salariés (article L.3323-5 du code du travail).

Chronique

La semaine de quatre jours à la table des négociations

Dans cette nouvelle chronique, Maud Stéphan, déléguée générale de Réalités du dialogue social, fournit des clés de lecture et liste des points d’attention pour mieux appréhender le sujet de la semaine de quatre jours dans la négociation collective. En cela, elle s’appuie notamment sur les discussions entre ses membres qui ont témoigné de leurs expériences, lors d’un Cercle d’échanges.
Une frilosité en France ?

Depuis plusieurs années déjà, dans différents pays européens, des tests de passage à la semaine de quatre jours sont réalisés à grande échelle et s’inscrivent dans une transformation sociétale :

A la une (brève)

Au 1er juillet, les allocations chômage augmenteront de 1,9 %

Comme nous l'avions annoncé le 3 avril dernier, le conseil d’administration de l’Unédic a décidé hier une revalorisation de 1,9 % des allocations d'assurance chômage au 1er juillet prochain. Les organisations syndicales se sont abstenues sur ce chiffre qui était la dernière proposition des organisations patronales. Une abstention qui n'a pas bloqué cette revalorisation au demeurant jugée trop faible par les syndicats.

A la une (brève)

Rayonnements ionisants : des modalités sont précisées

Un décret du 21 juin 2023 précise des modalités relatives à la protection des travailleurs contre les risques dus aux rayonnements ionisants.

Chronique

Rupture conventionnelle individuelle : éclairage sur les nouvelles mesures prévues au 1er septembre 2023

Christine Artus, Sarah Chihi et Natacha Meyer, respectivement avocate associée, collaboratrice senior et collaboratrice au sein du cabinet K&L Gates, reviennent sur les mesures de la loi rectificative de financement de la sécurité sociale du 14 avril 2023 qui harmonisent le régime social de l'indemnité de rupture conventionnelle individuelle.

Au-delà de l’allongement de l’âge légal de départ à la retraite, la loi de financement rectificative de la sécurité sociale n° 2023-270 du 14 avril 2023, portant réforme des retraites modifie le régime social de l’indemnité de rupture conventionnelle.

A la une (brève)

Titres-restaurant : le Boss confirme le plafond d'exonération de la part patronale fixé par l'administration fiscale

Après une revalorisation fixée en début d'année à 6,50 euros, la limite d'exonération applicable à la part prise en charge par l'employeur au titre des titres-restaurant émis en 2023 a finalement été revalorisée, début juin, à 6,91 euros. Une revalorisation confirmée par l'administration fiscale qui indique que cette nouvelle valeur s'applique sur toute l'année 2023. 

A la une (brève)

La cour d'appel de Grenoble écarte l'application du barème Macron

Dans un arrêt du 22 juin 2023, la cour d'appel de Grenoble écarte l'application du barème d'indemnités de licenciement sans cause réelle et sérieuse.