Portail RH

A la une (brève)

Chômage : les allocations de plus de 2 millions de bénéficiaires sont à nouveau revalorisées de 1,9 %

Après une revalorisation exceptionnelle le 1er avril dernier du fait du contexte de forte inflation, le conseil d'administration de l'Unédic a fixé le taux de la revalorisation annuelle des allocations chômage du 1er juillet à 1,9 %.  

Cette hausse concerne le salaire journalier de référence (SJR) des allocataires, ainsi que les montants servant dans le calcul de l’allocation journalière : 

A la une (brève)

Organisations syndicales et patronales s'accordent sur un agenda social autonome comprenant la valorisation des parcours syndicaux

Les organisations patronales et  syndicales ont finalement trouvé un accord sur les sujets à aborder dans les prochaines semaines et prochains mois : ils ont dressé leur agenda social autonome. Le document tient en une seule page (en pièce jointe). 

Le document comprend les sujets dont les partenaires sociaux veulent discuter entre eux et les thèmes dont les discussions sont cadrées par l'Etat. 

Dans la première catégorie on trouve :

A la une (brève)

Emeutes urbaines : le gouvernement va ouvrir l'activité partielle pour certaines entreprises

Le compte rendu du Conseil des ministres tenu hier indique que le gouvernement va ouvrir le bénéfice de l'activité partielle et de son régime d'indemnités aux "entreprises victimes de destructions matérielles ou pour lesquelles l’activité est directement affectée par des mesures de police administrative ou des consignes de prudence de la part des préfectures".

A la une (brève)

Préretraites maison : Renault prolonge les droits jusqu’au nouvel âge de départ légal

La direction de Renault a signé, le 28 juin, un accord relatif à l'aménagement des dispositifs de dispense d’activité existants, avec la CFE-CGC, la CFDT et FO (sauf CGT) pour maintenir les droits des personnes concernées.

A la une

Prism’emploi, fervent promoteur du nucléaire pour contrer les turbulences économiques

Après une embellie en 2022, le travail temporaire accuse un recul de 2,7% depuis janvier dernier. Sans céder au pessimisme, la fédération patronale du travail temporaire, Prism’emploi, avance ses propositions, notamment les transitions professionnelles vers le secteur du nucléaire.

Après une précieuse bouffée d’oxygène enregistrée au cours de l’année 2022, la croissance de l'intérim est en berne, avec une baisse de 2,7 % depuis janvier 2023, selon le baromètre des quatre premiers mois de l’année, présenté, hier, par Prism’emploi, la fédération patronale du travail temporaire.

Dans le détail, l'emploi intérimaire perd 20 000 emplois équivalents temps plein en un an (sur 740 000 emplois). Tous les secteurs d’activité sont touchés. La tendance devrait se confirmer en mai et juin.

A la une (brève)

Les recommandations de la DGSI pour se prémunir contre le vol de données par les salariés

Dans une note publiée en mai, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) livre ses préconisations pour préconisations pour lutter contre le vol de données par les salariés : 

A la une

Le sujet de la mobilité domicile-travail n'est pris en compte que partiellement dans les accords collectifs

Les accords collectifs ne traitent que partiellement de la thématique "mobilité domicile-travail". Cela s'explique, selon le bilan de l'Ademe, par une mauvaise connaissance des évolutions réglementaires, du contenu de la négociation et de son périmètre. La crise sanitaire a également favorisé la négociation d'accords uniquement en lien avec le déploiement du télétravail.
Depuis le 1er janvier 2020, la loi d’orientation des mobilités (LOM) du 24 décembre 2019 a rendu obligatoire, pour toute entreprise ou établissement d’au moins 50 salariés, l’intégration d’un volet mobilité domicile-travail au sein des négociations annuelles obligatoires (NAO), et plus précisément de la partie "Egalité professionnelle et la qualité de vie au travail" (QVT).