Après cette limite, la candidature aux élections professionnelles risque de ne plus être valide !
L’affaire commence par la signature, le 17 octobre 2022, d’un protocole préélectoral prévoyant notamment que "la date limite de dépôt des candidatures était fixée pour le second tour de scrutin au mardi 22 novembre 2022 à 12 heures". Quelques jours après avoir été convoquée à un entretien préalable, une salariée informe l’employeur qu’elle se porte candidate pour le second tour, par lettre recommandée avec avis de réception du 22 novembre 2022.
L’intéressée, qui n’a pas été élue, est licenciée pour faute grave le 3 décembre suivant.