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A la une (brève)

La CEDH soutient un juste équilibre entre la liberté d'expression du salarié et les intérêts légitimes de l'employeur

Dans une décision du 20 février 2024, la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) se prononce sur la liberté d'expression des salariés. 

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La fédération Syntec déplore le reste à charge CPF

Les réactions se multiplient après que Thomas Cazenave, le ministre délégué aux comptes publics, ait confirmé l'entrée en vigueur du reste à charge CPF cette année. 

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Réforme de la santé au travail : des députés s'apprêtent à observer son déploiement concret

La présidente de la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale, Charlotte Parmentier-Lecocq (Renaissance, Nord), et le député Sébastien Delogu (LFI, Bouches-du-Rhône), débutent prochainement une mission d’application sur la loi du 2 août 2021.

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Même s'il n'est qu'occasionnel, le travail de nuit doit être justifié

Il est d’ordre public que le recours au travail de nuit est exceptionnel et qu’il ne doit être mis en œuvre que lorsqu'il est indispensable au fonctionnement de l’entreprise. Il doit ainsi être "justifié par la nécessité d'assurer la continuité de l'activité économique ou des services d'utilité sociale" (article L.3122-1 du code du travail). Et ce même lorsque ce travail de nuit n’est qu’occasionnel nous dit la Cour de cassation.

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Frais de santé : les participations forfaitaires et les franchises médicales seront bientôt doublées

Plusieurs franchises annuelles sur les médicaments, les actes des auxiliaires médicaux et les transports sanitaires ont été instituées en 2008.

Depuis cette date, une participation forfaitaire est automatiquement déduite du montant des remboursements pour chaque consultation d'un généraliste ou spécialiste et pour tout acte médical ou de biologie (exception faite des actes et consultations réalisés en cours d'hospitalisation). Cette participation est plafonnée par an ou par actes ou prestations réalisés le même jour.

S'appliquent également :

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Contrôle Urssaf : la charte du cotisant est actualisée

La nouvelle charte du cotisant, opposable aux Urssaf depuis le 1er janvier 2024 , tient compte des dernières modifications réglementaires et apporte des précisions pratiques pour le cotisant contrôlé.

Un arrêté du 30 janvier 2024, publié au Journal officiel du 6 février 2024, actualise la charte du cotisant contrôlé. Cette charte s'applique rétroactivement au 1er janvier 2024 et remplace la charte applicable depuis 2022.

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FO, l'Unsa et la CGT dénoncent le reste à charge sur le CPF

Force Ouvrière s'oppose fermement à l'instauration d'un ticket modérateur sur le compte personnel de formation (CPF), qui selon le syndicat "conduirait [à son] détournement au détriment du droit à la formation professionnelle des salariés, notamment les moins qualifiés".

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CPF : Les Acteurs de la compétence vent debout contre un possible reste à charge de 10 %

Dans un communiqué publié hier, Les Acteurs de la compétence, la fédération de la formation professionnelle, s’insurge contre un possible reste à charge du compte personnel de formation (CPF) de 10 %, annoncé lundi par Thomas Cazenave, le ministre délégué chargé des comptes publics. Une décision qui, selon elle, "freinerait drastiquement l’accès de tous au CPF".

Chronique

Un redressement annulé au motif que l’Urssaf n’avait pas permis à l’entreprise de "consulter aisément" la Charte du cotisant contrôlé avant le début des opérations de contrôle

Par un arrêt rendu le 19 janvier dernier, la cour d’appel de Rouen a annulé un avis de contrôle établi par l’Urssaf au motif que ses mentions ne permettaient pas au cotisant de "consulter aisément" la Charte du cotisant contrôlé. Conséquence pratique : annulation des opérations de contrôle et de redressement tant pour les cotisations que pour les majorations de retard, ces majorations n’ayant plus de fondement. Analyse d'Alexandre Fraval, avocat au sein du cabinet Delsol Avocats.
Contexte

En 2017, une société a fait l’objet d’un contrôle par l’Urssaf Rhône-Alpes. Comme dans de nombreux cas, ce contrôle a abouti à un redressement. Avant de procéder aux opérations de contrôle, l’Urssaf a adressé à la société un "avis de contrôle" l’informant notamment :

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DSN sur les heures supplémentaires ou complémentaires exonérées

"A compter de la version de norme P24V01, les montants versés au titre des heures supplémentaires exonérées n’intègrent plus la rémunération nette fiscale renseignée en rubrique "Rémunération nette fiscale - S21.G00.50.002" contrairement aux modalités déclaratives en vigueur en version de norme P23V01, prévient Net-entreprises.